Subjectivement : Tout mode compliqué cernant
du vide, tout art pour l'art me répugne, ce qui est
le cas pour Picasso. Objectivement : La tradition : Les impressionnistes :
ils ont impressionné P. (cérébralement) a) positivement pour la théorie
issue d'eux : décomposition sur la toile des éléments d'une vision et recomposition
dans le cerveau du regardant. Composition arbitraire de la couleur (et
orientée). b) négativement : la technique
de P. est d'un fini et d'une froideur objective opposée à l'improvisation,
fougue, etc. des prédécesseurs. Sa première manière oppose aussi son monochrome
au polychrome précédent. Cézanne lui enseigne la valeur des droites
et arcs pour la construction dans P. Les périodes : Je passe tout
ce qui est de vision directe (d'ailleurs valeur : cf. Arlequins de P. Rosenberg)
pour occuper vision modifiée par théories. 1) CUBISME PHYSIQUE sujet découvert il part de la déformation d'un sujet par
a) rapport des lignes `a leur parangon
géométrique. Construction géométrique du tableau. b) observation des valeurs comme but de
beauté (et non moyen d'exprimer l'objet). c) non observation des couleurs. Le sujet d'abord lisible (nature morte
col. Erbslöh) (Monet à Picasso image 21) tend logiquement à passer au plan
secondaire qu'il tient dans la théorie de l'auteur (im 24) disparaît enfin
(25, 26) ce qui est possible puisqu'il n'est pas but, mais moyen modifiable.
2) CUBISME ABSTRAIT pas de sujet Après contemplation d'un sujet, P. couvre
sa toile d'une construction géométrique abstraite, offrant des plans et
valeurs imaginaires. il reste pour justifier les titres (homme à la clarinette)
quelques assimilations du sujet primitif, mais inexistantes pratiquement
(doigts, pipe, etc.). Ce sont tableaux ayant pour sujet jouissable,
des lignes, plans et valeurs. [1]3) sujet suggéré expressément Puis P. revient au sujet physique (violon,
bouteille, etc.) non plus représenté, mais suggéré : exemple : le violon
: la forme est rappelée par 2 doubles cercles FIGURE
l'un ombré l'autre lumineux. et le volute FIGURE
du manche. L'esprit reconstitue l'ensemble. La matière par des
planches placées autour offrant l'idée bois qui se superpose à la
forme déchiffrée, etc. Les cartes à jouer : tantôt négatif : le blanc du
fond représenté par un noir : (à ce propos : perception cérébrale identique
des contraires FIGURE
) tantôt arbitraire : signes verts sur fond gris. tantôt confondant verso
et recto : Le jeu de fond du verso prenant la place du blanc au recto :
sensation de développement de la carte. Les valeurs font place aux à-plats,
l'idée relief étant fournie par des reliefs réels ou un minimum d'indications.
La beauté plastique précédente n'existe
plus. La toile n'est qu'un prétexte à la formation du sujet dans le
cerveau du voyant. (cf., nature morte devant une fenêtre chez P. Rosenberg).
sa technique est absolument pauvre : parties de toile non couvertes, teintes
posées lisses comme d'un peintre en bâtiments. dessin grossier au trait
non recouvert. La couleur joue à nouveau un rôle. 4) PLANISME sujet entrevu. puis P. supprime toute représentation
physique de volumes : le tableau présente une série d'à-plats à limites
géométriques dont les rapports de couleur et de forme suggèrent le volume,
l'état d'esprit, (gaieté, tristesse etc.) et l'ordonnance d'un sujet entrevu
cérébralement plutôt que connu. La technique est soignée : contours nets,
pureté de couleur. Le tableau existe physiquement comme une
décoration agréable. Quelquefois la toile n'a que ce but décoratif,
sans sujet recomposable. Sentiments du spectateur : dans sa période 1 P. présente une vision
fortement ordonnée suivant des lois intelligentes. Il rappelle ainsi que
la création fut donnée à l'homme comme servante (Genèse) et non comme maîtresse.
dans la période 3 P. s'adresse à l'intelligence
coordonnatrice du spectateur. Il est d'autant supérieur à ceux qui s'adressent
à la bestialité ou sensualité. Pourtant ce jeu abstrait avec pour but
une notion physique : violon, etc. est pénible : son fruit trop débile pour
l'effort qu'il suppose. et la pauvreté technique désagréable aux sens.
les périodes 2 et 4 me semblent les meilleures
: le côté sensuel de la peinture est éliminé au maximum. Elle s'adresse
aux facultés spirituelles sans alourdissement d'objet (cf: musique. cf.
Mallarmé : prose à des Esseintes). il y a là délectation pure. pour un
catholique, un délassement agréable ne pouvant être qu'un repos entre
2 actes. (objectivement, je comprends que cet exercice devienne un
but pour le non-catholique). mais repos éminent (comme aux vers de Mallarmé)
détendant les facultés nobles (raison, sens commun {cf. Bossuet}) sans les
amoindrir. de la sincérité de P. question arbitraire de pure curiosité.
Sincères puisque tangibles ses tableaux (couleur, toile, traits,
cadres). Comme dans la poésie des néoclassiques (Moréas, du Plessy, ),
l'auteur peut n'avoir que des liens factices avec l'œuvre. mais l'œuvre
impose sa vie propre au public. objectivité. P. me semble aussi "sincère"
au sens commun du terme : un mensonge de 20 ans suppose un avantage. Or
les profits eurent été "humainement" plus grands si art
courant (Ses arlequins suffisaient). Seul un profit spirituel pouvait l'inspirer.
Geste aussi noble que celui d'un Mallarmé rompant avec son milieu pour soi
seul. PLAN
DE L’EXPOSITION A
B
C
4 nombreuses études (pose, manches, mains, robe) pour portraits.
pour le bain
5 femme premier plan du bain turc, à l’huile avec 2 positions du bras
droit. L'Atelier d'Ingres (au violon). D
3 id. 4 frottis pour portrait de femme. Ingres dans
les loggias de Raphaël? (aquarelle). monument à lady X. E
dans Ingres 2 parties. a) Ingres
reproduit directement la nature (mines de plombs). b) applique ses théories. a)
subjectif. FIGURE
Tous les portraits au crayon.
Ingres a un esprit essentiellement déformant. Exagérer les traits caractéristiques.
Obtenir l'expression par asymétrie faciale. déplacement en oblique des
horizontales yeux, nez, bouche, les 3 droites concourants en un point rapproché
du visage (O). Ce qui sauve le sérieux de ces portraits c'est leur petitesse.
Agrandis au naturel, on aura des caricatures absolues. Là-dessus
un modelé expressif par minimum de moyens. Le trait (figure et vêtements)
subjectif au possible. Ces dessins sont neufs de conception. Au
lieu de tendre au type Ingres tend au caractère. Exemple d'individualisme
à outrance. b) objectif. Parti de "la nature"
(David), Ingres s'en éloigne préoccupé (empoisonné) des primitifs (pas de
modelés intérieurs. ne pas étudier l'anatomie. faire rond). Ramène toute chair au cylindre,
toute ligne à la droite ou courbe connue, un éclairage artificiel distribué
en intensité proportionnelle au rapprochement des surfaces à ombrer. La
théorie prime tout. Méthode apte à la décoration (Ingres tend
à la fresque). mais peu agréable dans un tableau de chevalet. LA SIMPLIFICATION. Il la retrouve
au travers de toute l'école muscle (de M. Ange à Boucher et David) dans
les primitifs et les Grecs (Giotto, vases grecs). Dans Ingres existe en
puissance P de Chavannes. Celui-ci réalise l'Ingres—ébauché dans
l'apothéose, la neuvième muse, l'âge d'or. La faiblesse d'Ingres : sa
couleur. charme des crayons (le noir et blanc.) (l'Empereur 1806 manteau
lie de vin au noir dans l'ambre trône à boule ivoire, face empereur ivoire,
tapis à aigle ocre cerné bleu et vermillon. c'est "beau" comme
une image d'Epinal, tant c'est faux.) obtention des ombres par mélange
de noir au ton clair. Ingres
élude autant que possible la couleur : noirs, marrons, gris, + un rouge
franc. FIGURE
Ingres manque (est-ce volontaire?)
du sens proportion : travail acharné des esquisses : main d'un Virgile 3
fois plus grande que le bras. bras d'1 muse épais 2 fois nature. seins
attachés sous l'aisselle. crânes inexistants. yeux de 3/4 sans attache
au crâne, etc. dans toutes les études le trait est lourd, traîné, grossier.
usage des calques. Ingres semble avoir autant de réticence naturelle
au dessin que Cézanne par ex. D'où Ingres dans ses réussites
n'est qu'un effort de volonté. volonté basée sur une théorie, aboutissant
à un travail physique acharné. Ingres mal doué fait des chefs-d'œuvre.
Ingres n'est pas un "surhomme" mais un grand exemple humain.
L'Ingres des dessins remplaçant
le modèle par un succédané plastique jugé plus expressif, autorise toutes
les théories expressionnistes (Matisse par ex.) actuelles. ILLUSTRATIONS
A son exposition chez P Rosenberg, études
de nues pour son "sous-bois", quelques vues de ports et femmes.
des portraits et leur préparation au crayon. surtout "la Femme au
Madras" chef-d'œuvre[2] de la peinture actuelle, Lhôte
après avoir parcouru les théories s'est formé une discipline objective :
Recherche de la ligne avec tendance à la géométriser. Etude des valeurs
surtout à leurs points de jonction. Couleur sobre au thème choisi arbitrairement.
Il écarte l'atmosphère d'où sécheresse
des contours. Il fallait un mâle pour balayer toute
la lie impressionniste : Vuillard, Bonnard, Laprade etc.[3]
Lhôte est celui-là mais il se plaît encore au jeu stérilisant des théories
sans dogme. il est encore un peu jardin de Bérénice.
Quel homme sera assez puissant pour assassiner les nuances. Ce n'est
qu'alors qu'on pourra rebâtir. Beauvais
: cathédrale. Actes des Apôtres tissés par Ph. Béhagle vers 1680, Accrochés à bonne hauteur (7m
env). pour en comprendre l'effet décoratif. Raphaël agit par plans énormes
(genre Apôtres de Dürer) toutes draperies fournies aux plis épais, le geste
par là centuplé (comme par un masque une expression). L'homme, enfoui dans
ces étoffes, perd son animalité, s'avère émotif, noble. Les détails
s'effacent devant sa majesté toute exprimée par la rhétorique violente du
geste théâtral. Les doigts s'écartent, les cous se gonflent, les lèvres
s'ouvrent sous l'effort de l'âme ainsi extériorisée et plastique.
Transposition d'abstrait en concret. couleurs : dans un paysage de gris et
crèmes, de bruns et bis (lointains et colonnades). L'éclat lourd des pourpres
et des indigos, balancés autour des verticales, s'enroulant aux jambes,
déroulés aux bras et aux torses. La couleur mère presque muée au blanc
s'abattant par trois gros échelons de valeurs vers le bleu noir et le pourpre
obscur, aux liaisons hachurées larges avec la lumière imperturbable aux
coudes, aux fesses et aux cuisses, scolairement. Quelques chairs aux joues
et mains, quelques jaunes d'herbes et de terres. Les cadres sont pauvres.
Beauté classique de l'homme possesseur
du monde énoncée dans cette décoration épurée, comme aux tragédies de Racine,
aux Sabines de Poussin. PLAN
DE L’EXPOSITION 1 : la pêche miraculeuse, 2 Saint Paul
et Barnabé à Lystres, 3 la guérison du paralytique, 4 Mort d'Ananias, 5
Elymas frappé de cécité, 6 "Christ et Apôtres" St
Pierre aux clefs. que ces hommes, pas plus doués que nous,
arrivent par la volonté au travail. a) études sur nature : millet.
feuilles striées blanc, longues, feuillage de citronnier (très grande étude).
grenades; têtes d'animaux, études faites sur modèles posés (renard mort).
b) croquis sur nature et documents.
croquis de mouvements, d'expressions. documents d'après images : palmier.
singe. petites gouaches de paysages, d'oiseaux. c) esquisses pour grandes compositions
(la chasse aux monstres). études de détails pour un tableau déjà composé
(le chien derrière une touffe d'herbe indiquée par la silhouette calquée).
au musée : 2 tapisseries, les sauvages
et la chasse aux monstres dont les données sont à "l'atelier".
sa méthode probable : accumuler les documents.
composer d'imagination (en incorporant autant que possible les documents
existants). sur le squelette composition porter les morceaux existants
et étudier séparément les non-existants. Les reporter tels quels. le tableau
est fait ainsi. Ces paysages et études (cf : aras rose)
vibrent subjectivement "à la moderne". mais quelle noblesse dans
cette époque qui ne présente qu'un tableau : composition et cumul d'études
aboutissant à une œuvre objective méditée et travaillée, seule jugée
digne d'un public. Leçon pour les "amateurs" d’aujourd'hui,
Laprade et Cie. idéographie
aztèque et Gleizes d'un
tableau "planiste". sujet : la guerre. motif général : surfaces rouges, violet
nuit et noir se coupant.[5]
rayonnants de foyers distincts. au bas hémisphère foncé (noir marron pourpre)
représentant la terre. objets : crânes (mi-naturels-mi-négatifs) (1) cartes
à jouer. surfaces bleu-horizon sali (vidace) avec taches boue (noir cerné
marron). sang (sang naturel) représentant[6]
les soldats. (2) un casque (gris fer) allemand FIGURE
croix rouge et croix de bois (3) sorte d'arc-en-ciel FIGURE
côté rouge blanc noir bleu. etc.. béquilles FIGURE
molletière FIGURE
semelle puis insignes de l'arrière : signe représentant
patrie (14 Juillet) Journal. deuil.[7]
Lampion FIGURE
ruban portant toutes les décorations FIGURE
pantoufles FIGURE
calot grec déployé FIGURE
DACTYLOGRAPHIE journaux (naturel et négatif). GQG et diplomates : a) général. surfaces
garance bande noir et bleu étoilées or + galons parties en négatif (étoiles[8] noires. fond rouge). carte état-major. diplomates : plastron smoking naturel
et négatif. lauriers au naturel Louvre
: Sardanapale de Delacroix première fois que je le comprends (D).
FIGURE équilibre
de composition : Lui, en haut à gauche, une diagonale claire de là
au bas à droite. parties obscures : en haut à droite : paysage. en bas
à gauche : cheval et nègre. Les clairs sont appuyés sur le jaune laiteux
et le garance clair, plus un rouge franc. dessin : très faux (genre Renoir)
cernant avec exagération les belles courbes (bras d'homme au poignard).
Vraiment monstrueux et donnant au tableau son existence propre, sans le
souvenir du modèle. couleur : hardiesse, richesse mais tempérée
par des partis-pris rigoureux (cheval blanc dans l'ombre). L’impression
générale plate éloigne toute idée de représentation. L’obtenu
est la suggestion du sujet dans une grande beauté décorative. bric-à-brac de Delacroix : par touches
apparentes, suggère à bonne distance. de près éblouit de violence mais
le sujet disparaît—comment s'est-on ensuite étonné de Monet. lu : "Les impressionnistes ignorent
la composition (à propos des cubistes)". mais le Monet des Chartres,
le Renoir du bal de la Galette composent rigoureusement : choix arbitraire
des couleurs, point d'intérêt maximum. gradation de plans et valeurs.
les chicaner parce qu’ils ne tracent pas de lignes serait enfantin.
même sujet (un bras par ex) sera traité
par impressionniste : forme veule mais ombre verte et clair jaune, par ex.
par cubiste : forme toute lyrique mais
couleur veule. Les résultats s'équilibrent. Pourtant
nous devons haïr l'impress. historiquement. Leal dit : les anciens, point de
départ clair,[9]
de là le noir où est noyé le tableau. Les impressionnistes, point de départ
ombre, de là le blanc où est noyé le tableau. (en effet la gamme de valeur palette moins
étendue que la naturelle) DACTYLOGRAPHIE
un premier plan : sable et ombre soit orange et bleu. Velasco dit
: Jamais tu n'auras un premier plan avec ça. L'orange rapproche le plan,
le bleu l'éloigne. Regarde sur ta palette. La réalité pour le peintre,
c'est sa toile. ILLUSTRATIONS les verticales qui délimitent le paysage
et l'architecture doivent tomber dans l'axe ou sur les profils des figures
: union entre les deux. (Masaccio). la perspective optique consiste à faire
jaillir les obliques perspectives des positions des personnages, et non
d'un point de fuite. (Giotto). toute figure esthétiquement satisfaisante
présente répétée une même dimension entre ses points saillant[s], entière,
moitié ou quart. (Siqueiros) en sculpture : les volumes sont ceux contenus
par les plans en peinture : les volumes sont ceux autour
des plans. Diego oxydes de fer : ocre jaune. ocre de Rhut. terre de Sienne
naturelle. terre de Sienne brûlée. brun rouge, ocre rouge. terre d'ombre
naturelle. terre d'ombre brûlée. rouge de Pouzzoles [10]bleu de cobalt. vert de cobalt.
vert émeraude. X outremer.[11] X terre verte (très pure). laque de garance rouge. rouge indien noir de vigne pancarte
ceci
est la première fresque peinte[12] à Mexico depuis l’époque coloniale. ————————————————————————————- le grand texte : choisir chez mon oncle.
————————————————————————————- aux portraits : les noms. DIEGO RIVERA FERNANDO LEAL et moi mon âge AETATIS SUAE AET. XXIV ILLUSTRATION ILLUSTRATIONS ? 1. 2. 3. construire d'après dessin ordinaire a) avec règle et compas b) règle compas et pistolet chaque avec a) ligne sèche b) ligne sèche et ligne de force. Aussi même sujet avec a) prédominance des verticales b) " "
horizontales etc… exercices
sur les valeurs un sujet : ligne droite ————- carré puis formes plus complexes l'étudier en supposant les rencontres
de volumes (limites des formes) suivant les combinaisons : 1. 4 (blanc et noir) soit 2 valeurs FIGURE
———————————————————————— à 3 valeurs 1. 2.
(ton moyen) à 3 valeurs 2. 3.
soit par alliance. 1. 3.
soit contraste et alliance 1. 2. 2. 3 1. 2. 2. 3
soit alliance et perte de la ligne (fondu). 1. 1. 3. 3 etc… —————————————————————————— à 4 valeurs 1. 4
soit contraste 1. 3. 2. 4 1. 2. 2. 3
alliance 3. 4 1. 4
contraste et fondu. 2. 2. 3. 3. 4. 4. etc… —————————————————- Les passages d'une valeur à l'autre en
dégradé. introduire les couleurs en place des fondus
on a supposé la terre plate. C'est vrai;
elle l'est encore aujourd'hui, de Paris à Asnières par exemple. Seulement,
n'empêche que la science prouve que la terre est surtout ronde. Ce qu'actuellement,
personne ne conteste. Or actuellement, on en est encore, malgré
ça, à croire que la vie est plate et va de la naissance à la mort.
Seulement, elle aussi, la vie, est probablement
ronde et très supérieure en étendue et capacité à l’hémisphère qui
nous est à présent connu. [1] Rayé : c) PLANISME. [2] En marge : ! 1929. [3] En marge : de très bons peintres. 29.
[4] Original : “pisse-froids” et “chaude-pisses”.
[5] Original : coupants. [6] Original : représentants. [7] Original : dœuil. [8] Original : ét. [9] Rayé : assimilaient le blanc palette
aux clairs naturels. [10] Rayé : violet de Mars. [11] Rayé : Cobalt. [12] Rayé : de Avril à Décembre.
1 portrait de Bonaparte en rouge—dessins divers mine de plomb
2 Vierge à l'enfant (ébauche de la Vierge à l'hostie).
dessins divers mine de plomb
3 dessin id. (la famille X.)
4 apothéose d'Homère—au trait
1. la naissance de la 9ème Muse
aquarelle style fresque
2. dessin d'après David : Serment des Horaces.
3. divers portraits de femmes. La chapelle Sixtine.
un prince d'Orléans. Ingres jeune au tableau noir.
id âgé. L'âge d'or. tableau historique dans les rouges
4 Napoléon trônant de face en ivoire et lie de vin 1806.
à
gauche portrait de femme en robe à ramage.
esquisse pour St Symphorien. antique.
à
droite études huile. 4 bis. la Vierge en bleu (pour la Vierge à
l'hostie.
5 divers portraits : L'homme au col blanc sur ciel d'orage.
étude
pour Virgile lisant l’Enéide.
Roger délivre Angélique portrait inachevé (frottis).
une jeune fille aux anglaises. une face brutale peinte
large.
1 étude à l'huile (ma cousine).
2 études pour l’âge d'or (avec sujets littéraires indiqués).
la femme à hanche en pomme d'arrosoir. pieds et mains.
portrait Charles X (minuscule). Miss X couchée en romaine
3 (au trait pour le tableau) croquis Virgile lisant.
turc, La Source.
1 une Vénus et amour sur fond de feuilles (pour âge d'or?)
dessin d'histoire au trait.
2 étude pour Virgile lisant (main hors proportion). dessins
1 la chapelle Sixtine : le tableau inachevé.
2 académie faite à Rome.
3 la grande odalisque en camaïeu.
4 genre David.
5 dessins.
d'après dessins Raphaël—
article J. E. Blanche. Les
"actuels" sont traités de pisse-froid. Donc leurs opposés,
Blanche et autres s'étiquettent "chaudes-pisses”.me semble caractéristique.[4]
fut le peintre
Jean Charlot
et le maître-mâçon
———————————————-
A.D. MCMXXII