de
la médiocrité des Hollandais "genre Meissonier". Sauf
Vermeer génie. mauvais dessin et peinture. magots… de Rembrandt. art de métier. une fois
sur dix la vibration (homme à l'armure). alors admirable. à l'ordinaire
médiocre et se répétant. Les beaux morceaux sont ceux d'improvisation
(boucherie du Louvre). des "encadrements" défectueux des sujets.
Celui de la "petite anatomie" est insupportable, des dessins et
frottis. C'est bon comme du Dunoyer de Segonzac, ne peut passer comme réalisation.
paysagistes. comme les peintres de petit
genre. La plupart médiocres. visible surtout dans les frottis, même dans
Ruysdael. chefs-d'œuvre. un étal de poisson au crépuscule.
blancs dans l'ombre premier plan. Au fond le port dont une voile en plein
couchant. ciel d'or. Le chardonneret de Fabricius. peint franc.
(comme la dentellière Louvre de Vermeer.) Ver Meer. avec un bleu et un citron spécial.
dans son grand portrait c'est la vibration de l'impressionnisme. aussi
un granulé blanc (pain de la cuisinière. flanc du bateau du port) très
aigu. Sa jeune fille harmonie que Henner[1]
a retrouvée, mais géniale. F Hals, etc...[2] Les morceaux larges (les meilleurs),
musicien buveur, ont, mais pas plus[,] l'enseignement d'un Manet (fifre[3]) Une allée d'oliviers de face de Van Gogh.
perspective à l'infini. [1] Editeurs : Jean-Jacques Henner (1829-1905).
[2] Remplace : V. Ostade. [3] Remplace : joueur.